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Le Seigneur des Anneaux : l’obsession secrète de Peter Jackson pour Martin Freeman

Peter Jackson

Les fans du Seigneur des Anneaux connaissent bien les deux trilogies cinématographiques de Peter Jackson. Malgré les opinions partagées sur la trilogie centrée sur le hobbit, la performance remarquable de Martin Freeman en tant que Bilbon Sacquet a marqué les esprits, soutenue par l’insistance de Peter Jackson.

Un acteur, une évidence : Martin Freeman

Si le Seigneur des Anneaux est ancré dans le cœur des fans, c’est en partie grâce à l’interprétation mémorable des personnages. Parmi eux, Bilbon Sacquet, incarné par l’unique Martin Freeman, occupe une place de choix. Cependant, peu sont au courant des tourments qu’a traversés Peter Jackson, le réalisateur, pour l’avoir au casting.

Lorsque l’idée de la trilogie du Hobbit germa, Jackson avait déjà en tête l’image parfaite de Bilbon. Pour lui, c’était Martin Freeman. Mais alors, pourquoi tant de stress autour de ce choix ?

Peter Jackson : l’art du compromis pour donner vie à Bilbon

Peter Jackson voyait en Freeman, malgré sa renommée dans le comique, une profondeur dramatique essentielle pour le personnage. Il affirmait : « C’est un acteur dramatique, ce n’est pas un comédien, mais il a un talent pour la comédie. » Cependant, une ombre planait : Freeman avait déjà un engagement avec la série Sherlock. L’idée de le voir refuser le rôle donnait des sueurs froides à Jackson.

La situation devenait critique. À quelques semaines du début du tournage, le réalisateur n’avait personne d’autre en vue pour Bilbon. Ce dilemme le tenait éveillé. « Je me torturais en regardant Sherlock sur un iPad à 4 heures du matin », confiait-il. Face à cette impasse, une décision inattendue émergea. Jackson décida de repousser le tournage du premier film, faisant preuve d’une détermination rare, uniquement pour attendre Freeman.

L’histoire montra que ce choix fut judicieux. Malgré les avis partagés des fans sur la trilogie du Hobbit, le box-office parla en sa faveur. La magie du Seigneur des Anneaux opéra une fois de plus, confirmant que parfois, écouter son instinct peut conduire à l’excellence.

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